dimanche 23 décembre 2007

Merci Carson!!!

En direct de Nouvelle-Zélande, je vous livre quelques détails concernant le SWAP SCANDINAVIE.
Ma swappeuse était donc CARSON et elle m'a beaucoup gâtée:
-3 livres,
-des décorations de Noël,
-du thé de Noël,
-de l'encens,
-des marque-pages,
-du nougat (j'adore le nougat!).

Merci beaucoup Carson.



vendredi 21 décembre 2007

Bonnes fêtes tout le monde!

Dernière journée de travail, ensuite bagages puis direction la Nouvell-Zélande jusqu'au 31 décembre.
Alors je vous souhaite d'excellentes fêtes de fin d'année (moi,je n'aimepas trop ça mais d'autres adorent) et à l'avance plein de bonheur pour 2008.
Si ça se trouve, je viendrai mettre quelques notes car nous ne aprtons jamais ans ordinateur.

Au fait, j'ai ouvert mon colis swap Scandinavie! Je suis contente, contente, contente!


C'est une photo de la mairie de ma ville, il y a 2 ans.

Dans ma PEV

Quand on part en vacances, on emmène des livres, même si on ne les lit pas. J'ai décidé de les appeler ma PEV: Pile En Vacances ou encore Pile En Voyage.Comme d'habitude, c'est ce que je prépare en premier.
Et donc, en commun accord avec Monsieur, ou presque, j'emmène:


Le médecin de Tolède de Matt COHEN,

Seul dans Berlin de Hans FALLADA,

L'empreinte du renard de Moussa KONATE,

La petite fille dans le cercle de la lune de Sia FIGIEL,

Orgueil et préjugés de Jane AUSTEN,

Une femme sans histoires de Christopher PRIEST,

Le guide du voyageur galactique de Douglas ADAMS,

Electric de Chad TAYLOR.

Comme ça, s'il pleut, on aura de quoi s'occuper.

jeudi 20 décembre 2007

Karoo Boy-Troy BLACKLAWS


Nous sommes au Cap,en 1976, en Afrique du Sud, dans une famille blanche, heureuse: les parents et les frères jumeaux de 14 ans. Une famille heureuse jusqu'à ce que l'un des jumeaux décède accidentellement. A partir de ce moment,tout bascule: le père disparaît tellement il se sent coupable, la mère quitte son travail d'enseignante pour se consacrer à la peinture et déménage dans une région loin de la mer, le Karoo. Dans ses bagages, outre ses toiles: Douglas,le jumeau restant et narrateur, la bonne noire et ses poules et le chien.
Et là, c'est le choc pour Douglas qui, en plus de se sentir amputé d'une partie de lui, se retrouve confronté pour de bon à l'apartheid au fin fond du pays. En effet, il se lie d'amitié avec Moses, un vieil homme Noir qui travaille à la station-service du village et qui est sans cesse victime de violences et discrimination à cause de sa couleur qui n'est pas la bonne. En même temps, Douglas va connaître ses premiers émois amoureux avec Marika, qui tente de tenir tête à un père violent et raciste.

Nous allons donc suivre Douglas pendant quelques années dans le Karoo jusqu'à son échappée belle.

A première vue, le thème est intéressant, exotique tout en nous mettant face à une réalité pas si ancienne que ça: l'apartheid. Oui mais il manque un je-ne-sais-quoi pour être transporté. C'est un roman de, seulement, 240 pages environ, et selon moi, c'était trop peu pour parler de tout: apartheid, adolescence, perte du jumeau et du père, démission éducative de la mère qui ne se remet pas du drame...
Mais encore, malgré un manque de profondeur, j'aurais pu vraiment apprécier ce roman; sauf que, moi l'amie des animaux, j'ai vraiment eu énormément de mal à lire les diverses scènes de torture sur animaux, en classe de biologie notamment. On peut y voir un parallèle avec la violence faite aux Noirs mais j'ai surtout pris cela au premier degré, à savoir une violence gratuite et qui n'apportait rien à l'histoire.
J'ai donc passé ou lu en diagonale toutes ces lignes et ai été "choquée", d'autant, qu'encore une fois, je n'y ai pas trouvé d'intérêt littéraire, ni concernant le déroulement de l'histoire.

Le magazine Lire a élu ce roman parmi les 20 meilleurs de l'année 2006;je suis nettement moins dithyrambique. Certes, Troy Blacklaws possède un certain talent et a le mérite de parler d'un pays qu'il connaît bien puisqu'il y a vécu, et a donc vu de près l'apartheid. Mais la consistance qui fait qu'un roman devient passionnant n'y est pas.
Un auteur à suivre malgré tout...

Jules ne l'a même pas terminé!

mardi 18 décembre 2007

Le canapé rouge-Michèle LESBRE


Un jour, Anne la Parisienne prend le train direction le lac Baïkal afin d'y retrouver un ancien amant. Pendant ce périple elle rencontre des Russes que nous, nous n'aurons pas l'honneur de connaître ou si peu. Arrivée à destination, elle retrouve la trace de son ex mais ne le revoit pas. Elle rentre à Paris, croyant y retrouver sa vieille voisine de palier dont elle s'occupe. Mais elle est décédée alors qu'Anne était à des milliers de kilomètres.

Le roman oscille entre Paris et la dame au canapé rouge qui représentent le présent d'Anne et la Russie qui témoigne de son passé. Deux univers et deux époques différentes qui ont forgée cette femme.
L'idée de départ me plaisait bien, mais j'ai été déçue par ce Canapé Rouge qui m'a laissée sur ma faim: les personnages restent bien trop superficiels, les faits également. Anne va en Russie en train (vous imaginez le périple!) et une fois arrivée sur place, elle repart! J'aurais aimé avoir des détails sur les personnes rencontrées dans le train, les habitants du lac Baïkal, pourquoi elle n'a pas souhaité rester plus longtemps. Certes Michèle Lesbre écrit tout ça mais ne fait que le survoler sans aller au plus profond du personnage. Peut-être que ce sentiment vient de moi (sans doute même) qui préfère l'exhaustif...

J'aurais aimé me mettre à la place d'Anne, surtout dans cette région peu banale de la Russie, mais ça n'a pas été le cas. Dommage.

Je sais que certains ont lu de la douceur et de la sensibilité, moi, j'ai surtout lu un livre trop vite écrit, même si je ne peux nier une certaine poésie.

Pour moi, ce fut un bien petit livre pour un long trajet en train.

L'ont lu et souvent aimé: Clarabel, Papillon,Gambadou,Chimère.

J'ai un problème...


...je crois bien que je t'aime. Oui, peut-être mais je ne voulais pas vous parler d'amour mais plutôt de swap.

Je pars en vacances vendredi soir, nous serons le 21 et je reviens le 30. Or, le 23, doit avoir lieu le grand déballage commun du swap Scandinavie.

J'ai bien pensé emmener mon colis en vacances (si c'est vrai!) mais j'ai interdiction formelle de Monsieur de l'emmener: paraît-il qu'il faut porter les bagages et à la douane, s'il y a des gâteaux, bonbons ou autres,dans ce colis, ça risque de coincer. Soit, mon colis swap restera donc à Tahiti. Mais alors,je l'ouvre avant, le 21, ou après tout le monde, c'est-à-dire le 30?
Je ne sais pas, j'hésite et sur le règlement du Swap Scandinavie, aucune consigne.

Pfff, et si je l'ouvrais aujourd'hui?!

lundi 17 décembre 2007

Le rapport de Brodeck-Philippe CLAUDEL

Brodeck est chargé d'écrire un rapport détaillé des faits inavouables qui se sont déroulés dans son village. Il n'a rien fait, n'y a pas assisté mais doit recueillir les témoignages des hommes qui y étaient, les compiler et raconter, tout en édulcolorant. En parallèle de ce rapport formel et administratif, Brodeck écrit pour lui, pour nous, la vérité. Comment l'Anderer (l'Etranger) est arrivé dans leur village, pourquoi il est resté à l'écart, mais aussi ce qu'a vécu Brodeck dans les camps,qu'on devine de concentration, comment il est revenu dans son village auprès de sa femme bien-aimée mais traumatisée.

Voilà, je n'en dirai pas plus pour plusieurs raisons:
1. De nombreux bloggeurs ont déjà chroniqué ce roman et on en a beaucoup entendu parler;
2.Je ne voudrais pas vous en dévoiler trop au cas où vous n'auriez pas lu ni les critiques ni le roman;
3.Je ne sais pas faire, je manque de mots.

N'étant absolument pas objective en ce qui concerne Philippe Claudel, je vais faire bref: j'ai encore aimé, non adoré, ce roman. Pour qui a lu Les âmes grises,on retrouve la même ambiance, noire, sordide, donnant une image bien négative de l'humanité (mais je suis moi aussi de plus en plus sévère vis-à-vis des Hommes)avec tout de même, une fin qui laisse espérer des jours meilleurs pour Brodeck et sa famille.
J'aime cet univers, j'aime l'écriture de Philippe Claudel et je suis sensible aussi au fait qu'il soit Lorrain et habite dans une région que je connais bien; c'est bête mais c'est comme ça.
Bien sûr, ce roman est à éviter en cas de baisse de moral car il ne va pas vous le remonter; n'empêche que c'est beau.

Ca faisait longtemps que je n'avais pas écrit une note aussi peu satisfaisante, c'est parce que je suis "bloquée", rien ne me vient; et aussi parce que j'ai quelques notes en retard (de l'ordre de 6 ou 7 quand même!)que j'aimerais bien écrire avant de partir en vacances.On a le droit de rêver...

Des avis souvent plus détaillés chez Essel, Tamara, Le Bibliomane, Chatperlipopette, Clochette, Gambadou, Bellesahi, et qui d'autre encore?

mercredi 12 décembre 2007

Quand ça veut pas, ça veut pas!

J'inaugure cette nouvelle rubrique "à la poubelle" qui recense les livres et films au bout desquels je n'ai pas pu aller.
Je suis pourtant assez bon public et déteste ne pas arriver à la fin d'un bouquin ou d'un film; mais parfois, c'est au-dessus de mes forces.

Donc, ça vient de m'arriver par deux fois.

Le premier abandon concerne un roman:



L'histoire d'un écrivain à succès, meurtrier de sa compagne, qui se confie à son psychanalyste. A première vue, le sujet m'intéressait et semblait prometteur. Sauf que bon, le style est prétentieux, il y a deux narrateurs: le psy et l'écrivain, ce qui fait, qu'à force, on peut s'y perdre. Et puis, c'est plat,vaguement érotique et scandaleux et surtout,sans intérêt, sauf à de (trop) rares moments.
Je passe mon tour...

Le second abandon concerne un film:

L'histoire d'une jeune femme atteinte d'un cancer et soutenue par son petit ami. Sauf que le petit ami se trouve attiré par une autre jeune fille. Pour le reste, je ne saurai vous dire, j'ai dû abandonner au bout de 30 mn, mais il semblerait qu'un étrange couple à trois se forme et se déforme.
D'une, je déteste Laura Smet mais j'avais décidé de ne pas m'arrêter à ce détail; en fait, j'aurais dû m'arrêter à "je déteste Laura Smet"! De deux, j'ai découvert Nicolas Duvauchelle et je constate que je déteste son jeu d'acteur; il incarne une petite frappe des banlieues qui tape sur les murs du plat de la main quand il est énervé. Aucun intérêt, aucune consistance, aucune charme même s'il est plutôt mignon
De trois, je ne suis pas sourde mais je n'ai pas compris grand chose à ce que les acteurs disaient; c'est embêtant...

Voilà, deux mauvaises pioches presque coup sur coup, je me rattrape avec d'autres oeuvres de qualité, dont je vous parlerai, évidemment.

lundi 10 décembre 2007

Gemma Bovery-Posy SIMMONDS



Je ne suis pas une grande adepte des bandes dessinées, en grande partie par méconnaissance, mais de temps en temps, j'en lis. Ce fut le cas avec Gemma Bovery, gracieusement prêté par une copine du forum Parfum de livres.

Gemma Bovery est une jeune Anglaise qui s'est mariée, un peu par hasard, avec Charlie, un homme plus âgé qu'elle et qui a deux enfants. Elle s'ennuie à Londres malgré son travail qui lui plaît et lui rapporte beaucoup d'argent. Alors, elle veut partir et, à force de persuasion, Charlie accepte d'acheter une maison en Normandie. Et voilà les Bovery installés dans une maison normande, en pleine campagne. Mais rapidement, Gemma s'ennuie, ne supporte pas les enfants de Charlie, travaille peu et constate que son mari ne s'intéresse pas à elle. Elle déprime, rencontre un jeune homme mais cela ne lui suffit pas. Elle pense rentrer en Angleterre, mais la mort va la rattraper, comme Emma Bovary...
Le séjour normand de Gemma est raconté par le boulanger du village, qui se sent coupable de la mort de la jeune femme et qui a joué au voyeur. Evidemment, on fait le parallèle avec Emma Bovary, avec un siècle d'écart; elles se ressemblent bien sûr, sans être semblables.

Cette Gemma Bovery, autant le dire, je l'ai touvée particulièrement désagréable: tête à claques, capricieuse, jamais contente et entraînant les autres dans son tourbillon. Malgré ça, j'ai passé un joli moment avec cette bande dessinée. Le dessin est beau, très réaliste et plein de détails, en noir et blanc, mais parfois un peu trop romantique à mon goût; en effet, les bulles en coeur lorsqu'elle est avec son amant, j'ai eu du mal à ne pas trouver cela niais. J'ai également trouvé bizarre que ce soit le boulanger qui raconte cette histoire: il connaissait tout de cette femme et cela a pu me mettre mal à l'aise.

En conclusion, je n'aurais pas acheté cette bande dessinée mais ai pris plaisir à la lire, malgré ses défauts; pour autant, elle ne me laisse pas un souvenir mémorable.

mercredi 5 décembre 2007

Et encore un swap, un!

Je ne l'attendais pas si tôt mon colis swap SFFF (Science-fiction, Fantasy, Fantastique). Et, ironie du tirage au sort, ma gentille swappée est une amie, que je connais depuis au moins 3 ans et que j'ai déjà rencontrée. Et cette amie, c'est Dyla/Gene.


Et elle m'a beaucoup gâtée:
Une femme sans histoire de Christopher Priest,
Christine de Stephen King (en 4ème de couverture, c'st écrit que c'est un classique de l'horreur, à ne pas lire la nuit donc!),
Le guide du voyageur galactique de Douglas Adams.
Ca c'est pour les livres, et c'est exactement ce que je voulais.
Mais ce n'est pas tout: il y avait aussi des bons chocolats suisses dont une grosse pièce comme quand j'étais gamine, de la tisane à l'ortie bio, des beaux marque-pages, des mini-stylos fluo que j'adore et une gentille carte.

Comme vous le voyez, Siki m'a aidée à déballer mon paquet et s'est empressé de me déchiqueter un paquet de tisane. Je l'ai arrêté dans son élan!

Un grand merci donc à mon amie Dyla, et aussi à Loba et mon amie Hydromielle, les gentilles organisatrices du swap SFFF.
J'attends maintenant le 23 pour déballer mon colis Scandinavie (il prend la poussière, c'est certain!) et février pour le swap de Fashion Victim et Stéphanie.

mardi 4 décembre 2007

Mal de pierres-Millena AGUS

Une jeune femme raconte l'histoire de sa grand-mère paternelle. Elle était sarde et différente de ses soeurs: très belle mais aussi au caractère très changeant et imprévisible. Alors elle ne trouvait pas de mari jusqu'à ce qu'un étranger soit hébergé dans la famille et la demande en mariage. Il ne s'agissait pas d'amour mais un respect mutuel s'est installé entre eux. Ils ont eu un fils, le père de la narratrice, original également: rêveur, très beau et musicien, ne vivant que pour la musique. L'amour qu'elle ne recevait pas de son mari, elle l'a reçu d'un homme pendant une cure, très brièvement...

C'est un livre que l'on m'a prêté et que j'ai lu il y a un plus d'un mois. J'ai peu de temps à consacrer à mon blog, c'est pour cette raison que la "critique" arrive tardivement. Mais c'est aussi parce que j'avais presque oublié la lecture de ce court roman. Cela vous donne donc une idée de l'effet que m'a fait ce livre.
J'en ai apprécié la lecture et faire connaissance avec la Sardaigne et certains de ses habitants de l'après-guerre m'a plu. J'ai aimé la fluidité du style et l'histoire en elle-même. Mais tout cela ne m'a pas assez passionnée pour que je garde un souvenir mémorable de ce roman: l'histoire, bien qu'agréable, est somme toute banale et sans relief. Les personnages ne sont, à mon avis, pas assez fouillés, manquent de consistance; certes, cette grand-mère fantasque est touchante mais lointaine.

Au final, on peut dire que j'ai passé un agréable moment de lecture mais en suis sortie un peu frustrée car en manque de détails. Un roman que j'oublierai vite et pour lequel je n'ai pas saisi l'engouement qu'il a suscité.

Ont lu mais pas toujours aimé: Papillon, Biblioblog,Sylire,Lilly,Clarabel, Laure

dimanche 2 décembre 2007

Prenez soin du chien-JM ERRE


Au 5, rue de la Doulce-Belette à Paris, tout part à vau-l'eau alors qu'auparavant l'immeuble était plutôt tranquille.En effet, un meurtre a été commis et il semble que ce soit un des habitants le coupable. Juste après ce meurtre, deux hommes seuls ont emménagé le même jour; l'un au 5 de la rue de la Doulce-Belette, l'autre au 6. Ils sont pour le moins atypiques et passent leur temps à s'espionner mutuellement. Leurs voisins sout tout aussi loufoques: un réalisateur bizarroïde, une veuve folle, une femme et son fils autiste, une autre femme et son fils qui terrorise le quartier...et les deux concierges!En moins de 6 mois, les meurtres vont se succéder, la paranoïa se développer jusqu'à ce que tout le monde soupçonne tout le monde.

Mon (court) résumé est bien loin de la réalité de ce roman car en vrai, ce n'est pas seulement un policier. D'ailleurs j'ai bien cru que je n'aurais pas la réponse et ne saurais pas qui est le meurtrier. J'ai lu ce roman d'une traite, comme un polar mais surtout comme un livre "extra-terrestre" bien éloigné de ce qu’on a l’habitude de lire. Tout est hors norme et complètement déjanté: les personnages, les faits et même le fin mot de l'histoire.

Cela faisait bien longtemps que je ne m'étais pas autant amusée en lisant un roman; j'ai ri toute seule, malgré les regards sceptiques que m'adressait Monsieur. Cet univers farfelu m’a véritablement conquise et j’ai passé un excellent moment, pas assez long, avec ce livre.
JM Erre m’a épatée par son imagination foisonnante et son culot ; en effet, malgré cette accumulation de bizarreries, on arriverait presque à croire que c’est possible ! Ce monsieur possède un réel talent d’écrivain et de conteur ; s’il est aussi original pendant ses cours (il est professeur de français à Montpellier) que dans son roman, ses élèves ne doivent pas s’ennuyer !

Pour la petite anecdote : j’ai prêté ce roman à un ami qui m’a téléphonée simplement pour me dire que, comme moi, il se marrait tout seul, se demandant ce que penserait son entourage !

Ont lu et apprécié: Biblioblog,Flo, Clochette, Baratin, Papillon,La Conteuse, Choupynette, Chimère, Clarabel,Chiffonnette et d'autres sans doute.